«J’ai adhéré aux caisses sociales de la CVCI pour les mêmes raisons qui m’ont fait rejoindre la Chambre :  le soutien que les entreprises peuvent y trouver et la qualité des échanges entre les membres.»

Floriane Robert, CEO d’Arcadie

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S’adapter et délivrer les mesures d’aide APG

L’entrée en vigueur de la révision de l’impôt à la source prélevé sur les allocations familiales a induit des nouveautés pour les contribuables et les employeurs. «Nous avons été particulièrement touchés dans la mesure où les informations nous sont parvenues tardivement, explique Claude Bubloz, gérant des caisses AVS de la CVCI. Cela a nécessité une adaptation rapide à l’interne pour pouvoir déterminer qui était assujetti ou pas.» Au début, les ayants droit ont dû attendre une semaine pour recevoir leur dû. Pour certains, une somme de 300 ou 600 francs fait une sacrée différence au niveau budgétaire, d’autant que les sommes ne sont versées qu’au début du mois, car il faut attendre l’écoulement du mois précédent pour déterminer le montant dû. «L’Etat de Vaud promet une harmonisation technique pour cette année.»

L’introduction du congé-paternité, au 1^er janvier là aussi, a constitué l’autre fait marquant pour le service dirigé par Claude Bubloz. «Il existait de grandes interrogations chez les employeurs et les caisses sociales à propos des hommes au bénéfice d’un contrat de travail à temps partiel, notamment pour ceux qui morcelaient leur congé en heures, par-ci par-là.» Dans les faits ce n’était pas simple d’indemniser et «l’OFAS ne s’est guère montré compréhensif. Mais là encore, remarque Claude Bubloz, les Caisses ont su faire preuve d’adaptabilité face à une situation complexe.»